Dans chaque jeu, les joueurs n’ont qu’un seul but, gagner de l’argent sans pour autant oublier de s’amuser et de se détendre. Plusieurs méthodes ont été élaborées pour permettre à chacun d’avoir plus de chances de gagner. Nous allons voir ensemble les principales martingales utilisées aussi à la roulette mais qui fonctionne bien à la boule.
La grande martingale
Cette méthode est assez dangereuse. Tout d’abord, on doit miser sur une chance simple. La méthode consiste alors à doubler sa mise chaque fois que l’on perd. Mais si on gagne, on revient à la mise initiale. L’avantage de cette méthode est que l’on est assuré d’obtenir les différentes mises perdues auparavant, en plus d’une mise, si l’on gagne. Cependant, il faut tenir compte de la mise maximale autorisée par le casino.
Le problème réside cependant dans le fait que l’argent investi est largement supérieur à celui qu’on pourrait gagner. Et en fait, c’est le principal inconvénient de la pratique de cette méthode.
La piquemouche
Le principe est le même que celui de la martingale. La méthode de la piquemouche consiste à doubler sa mise lorsque l’on perd trois fois de suite. L’avantage de cette méthode est que le temps mis pour pouvoir atteindre la mise maximale est plus grand que celui de la martingale. L’inconvénient réside dans le fait qu’il n’est pas suffisant de gagner une seule fois pour pouvoir se rembourser les sommes perdues auparavant.
Pour couvrir ces dites pertes, on pourrait utiliser en plus de cette méthode, une autre méthode appelée le Paroli dont le principe sera explicité plus tard. Donc la pique mouche n’est pas conseillée pour les petits budgets.
Le Paroli
Cette technique permet de gagner beaucoup en misant peu. A chaque coup gagnant, on misera les gains obtenus ainsi que la mise initiale jusqu’à ce qu’on atteigne la somme qu’on désire. L’argent utilisé pour miser en utilisant cette technique est celui du casino.
L’Alembert
Pour commencer, il faut donner la valeur de la mise. La méthode d’Alembert consiste à baisser cette mise d’une unité en cas de gain, et de l’augmenter d’une unité dans le cas contraire.
La contre d’Alembert
Son principe est contraire à celui de la méthode d’Alembert, c’est-à-dire qu’il faudra augmenter notre mise d’une unité lorsque l’on gagne et qu’il faudra la diminuer d’une unité dans le cas contraire.
La martingale hollandaise
La martingale hollandaise est une technique à peu près sûre. A chaque coup gagnant, il faut augmenter la mise d’une unité jusqu’à obtenir un équilibre.
L’Américaine
Elle est assez complexe et nécessite une assez grande concentration. Dès que vous perdez, vous devez miser la somme de la première mise avec celle de la dernière. Et lorsque vous gagnez, vous devez miser la deuxième mise ajoutée à celle de la dernière, et ainsi de suite.
Le Whittacker classique
On commence par miser 1. En cas de perte, on misera 2. Si on continue à perdre encore, on misera la somme des deux dernières pertes, et ainsi de suite. Dans cette technique, pour obtenir des bénéfices, il faudra gagner deux fois de suite.
Le Wittacker variante
Dans cette technique, on misera 1 pour commencer, comme dans la précédente méthode. Mais on continuera ensuite par miser 2, puis 3. La mise suivante sera calculée en fonction de la somme de toutes les mises perdues précédemment. Dans ce cas, ce sera la moitié, c’est-à-dire que la mise suivante sera égale à la moitié de toutes les mises perdues précédemment.
Dans ce cas, pour pouvoir être bénéficiaire, il faudra gagner plus de deux fois de suite. Deux gains successifs permettent seulement de revenir à l’équilibre des gains.
La dent de scie
Cette méthode se fait en trois étapes : la mise initiale utilisée est de 10 unités, sur une chance simple. On augmente d’une unité si l’on gagne. On revient à la mise initiale en cas de perte. En cas de deux pertes consécutives, il faudra miser sur une unité jusqu’à ce que l’on gagne de nouveau.
Ensuite, après un gain, on revient à l’étape 2. Si on obtient un gain dès la première étape, on recommence à la première étape et l’on est bénéficiaire.
La montante par palier
Cette méthode consiste à miser sur une chance simple pendant neuf (9) coups et à s’arrêter dès qu’on a un bilan positif. Si après neuf coups, on n’est pas gagnant, il faut recommencer en misant cette fois-ci sur deux unités, et ce durant neuf (9) autres coups. Ensuite, on doit miser sur 3 unités et ainsi de suite. Mais il faudra s’arrêter lorsque l’on a un bilan positif.
La méthode des sept boules
Dans ce cas, il s’agit de miser une unité sur une même chance simple pendant sept coups consécutifs. Si à la fin, on obtient un bilan positif, on s’arrête. Sinon, on misera une mise qui est égale au déficit contracté durant les sept précédents coups joués, et l’on s’arrête dès l’obtention d’un bilan positif.
La méthode de Martin Yung
Cette technique se fait en cinq étapes :
Première étape : Tenter un paroli cinq fois de suite. Une réussite provoquera un gain de 31 pièces tandis qu’un échec provoquera la perte d’une unité. En cas de perte, passer à l’étape 2.
Deuxième étape : A chaque saut du paroli, miser 2 pièces (paroli à 4 termes). En cas de réussite, on a un gain de 29 pièces. En cas de perte, on perd 2 pièces (3 pièces au total) et on passe à l’étape suivante.
Troisième étape : La mise sera doublée (paroli à 3 termes). En cas de réussite, on a un gain de 25 pièces. En cas de perte, on perd 4 pièces (7 pièces au total) et on passe à l’étape suivante.
Quatrième étape : La mise sera encore doublée (paroli à 16 termes), 8 pièces seront donc misées. En cas de réussite, on a un gain de 17 pièces. En cas de perte, on perd 4 pièces (15 pièces au total).
Cinquième étape : La mise sera encore doublée (paroli à 16 termes), 16 pièces seront donc misées. En cas de réussite, on a un gain d’une seule pièce. En cas de perte, on perd 16 pièces (31 pièces au total).
Dans tous les cas, en cas de gain, il faudra s’arrêter.
Le 1/3
Cette technique consiste à rester sur la même mise tant qu’on perd et à l’augmenter de deux unités lors d’un gain. Elle n’est pas réellement une martingale, mais elle permet d’accumuler un maximum de gains en un temps minime.
La montante de Wells
Au premier coup, il faut miser cinq pièces. Si vous gagnez une mise, vous diminuez d’une pièce. Sinon, vous augmentez d’une pièce. Cette méthode permet le gain d’une demi-pièce par coup joué lorsque l’équilibre entre les coups perdants et les coups gagnants est atteint.
Lecluyse dit
Vous pouvez rajouter la technique du 3 :
9 étapes :
1) tout miser sur le 3
2) répéter étape 1) 8 fois de suite
Alexandre Lecluyse