L’addiction d’un jeu est un phénomène qui existe dans les casinos physiques ainsi que sur le virtuel. Elle se manifeste avec une passion maladive et modifie radicalement le comportement du parieur. Dans la société, la folie du jeu du pari d’argent peut pousser facilement un individu à commettre des actes irréfléchis et dangereux.
Deux affaires récentes de délit dû aux addictions aux jeux
C’est qui s’est passé il y a quelque temps dans une boutique Paddy Power. Un jeune ayant un comportement à risque dans le jeu s’est muni d’un masque pour dévaliser ce commerce. La scène s’est produite après que le gérant ait refusé la candidature de l’individu pour travailler dans cette enseigne. Durant l’action, le responsable a perdu 22 000 $, mais il a eu le temps de reconnaitre l’identité de son agresseur avant que ce dernier prenne la fuite. La situation du jeune garçon âgé d’une vingtaine d’années s’est aggravée quand les agents de l’ordre ont aussi retrouvé une lettre de menace à son domicile. Comme seule défense, il a opté pour un argument assez original évoquant son addiction aux jeux. Toutefois, malheureusement pour lui, le juge n’était pas d’humeur, le jeune a écopé tout de même 6 ans de prison.
Un autre cas impliquant un individu ayant un comportement à risque s’est produit en Suisse. Un agent ayant un poste dans une compagnie de transferts de fonds internationaux dispose d’un petit penchant pour les casinos. L’individu est un habitué de plusieurs établissements de jeux de paris à Montreux et à Genève. Récemment, il a fait la connaissance d’un client brésilien voulant transférer de l’argent vers son pays d’origine pour aider sa famille dans un projet de rénovation immobilier. Comme solution pour accélérer le processus de transfert, l’agent a suggéré de déposer la somme sur un compte, qui n’était autre que son compte. Son client lui a donc confié 68 000 CHF pour la transaction, mais il se trouve que seule la somme de 25 000 CHF a été envoyée.
Où est donc passé le capital restant ?
Il se trouve que l’agent a utilisé la somme restante pour financer ses paris dans les casinos suisses. Au final, il a obtenu une sanction de 150 jours d’enfermement avec sursis ainsi qu’une amende de 540 CHF pour ses méfaits.
Le dernier cas est un cas d’escroquerie qui implique une maman qui a déjà eu affaire avec la justice pour un cambriolage. Cette femme était une habituée dans un casino au Connecticut et elle avait un complice étant un croupier. À chaque fois que la maman de 7 enfants gagne, son complice s’arrange pour lui offrir des jetons supplémentaires. Au total, les deux escrocs ont pu obtenir 78 000 $, et la femme a empoché un emprisonnement de 1 an ferme ainsi que 5 ans de conditionnelle.
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