Voilà un débat qui va faire parler de lui au Canada puisqu’un nouveau casino a fait son apparition, pour le moment c’est une bonne nouvelle, mais pour les francophones la mauvaise nouvelle est que les centaines de machines à sous présent au casino sont totalement en anglais. De nombreuses critiques ont fusées en direction de Michael Novac, présent du groupe Sonco Gaming qui gère cet établissement.
Le président a déclaré avoir commandé les meilleures machines à sous disponible sur le marché, pour obtenir les conditions parfaites pour les clients. Mais aucune des machines n’est en français.
Quant aux autres jeux d’argent ; le poker, le blackjack ou encore la roulette, les croupiers parlent les deux langues mais Sonco Gaming a dû trancher sur la langue principal. Il n’est pas possible de développer un des jeux dans les deux langues. C’est pourquoi Michael Novac a décidé de mettre en avant l’anglais.
Néanmoins, les établissements de jeux d’argent installés aux Québec, les jeux tels que le poker sont disponibles dans les deux langues. Vous pouvez jouer contre des clients anglophones ou francophones. La seule restriction est que le croupier parle couramment les deux langues, logique.
La question à se poser pour les groupes de casinos situés aux Canada est, pourquoi certains casinos ont le droit de proposer l’anglais et le français sur leurs machines à sous et sur leurs jeux de tables ? Un débat important est en cours et le président Jean-Marie Nadeau, qui gére la Société de L’acadie du Nouveau-Brunswick est furieux d’apprendre qu’à Montréal, il est possible d’instaurer des règles qui sont interdites pour lui.
D’après les paroles d’un juriste, le gouvernement en question a certains droits sur une entreprise privée. Qu’elle accepte ou non les demandes de la société.
Le gouvernement va remettre en cause le problème des services multi-langues pour améliorer le développement de certains établissements. Il n’y aucune excuse valable pour ne pas autoriser deux langues dans un casino.
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