On se souvient de ce terrible périple de Sheriff Gaming. Le malheur continue et le développeur accumule les preuves très graves qui prouvent leur culpabilité. En effet, une cour de justice a révélé des preuves incontestables qui enfoncent de plus en plus l’opérateur dans un vrai bourbier. Les responsables ne pourront plus s’en tirer et doivent répondre de leurs actes devant les tribunaux.
Rappel du dossier Sheriff Gaming
En mars 2014, l’annonce a été faite sur la fermeture définitive de Sheriff Gaming. Plusieurs années auparavant, le fournisseur a déjà eu à faire à de graves accusations comme des fraudes importantes. Par conséquent, il a dû dire adieu à sa licence de jeux d’Aldamey. Ensuite, la firme a déclaré sa faillite. Mais l’histoire ne s’est pas arrêtée là. Après ces mauvaises passes, le développeur a décidé de créer Blue Gem. L’objectif dans cette démarche était de sauver les jeux.
Mais la même histoire se réitère, la nouvelle structure cachait encre des vices. La fin du développeur de jeux a été ainsi prononcée. Tout ne s’est pas encore arrêté, car une cour de justice néerlandaise a obtenu encore plus de preuves sur la culpabilité des responsables de cette firme qui a été connue pour ses jeux en 3D.
Actuellement, le fournisseur n’est plus, mais les preuves continuent à surgir. De nouveaux éléments sont ainsi apparus. Plusieurs peines planent encore sur les responsables : Michel et Maurice Grégoire et Stijn Flapper. Ils sont notamment accusés de fraudes et de blanchiment d’argent ainsi que d’organisation de jeux d’argent en ligne de manière illégale.
Les autorités ont ainsi découvert que ces responsables cachaient 1305 $ millions sans en avoir fait part à la fiscalité. Des biens de la société ont été mis en vente et repris par d’autres firmes. Certains employés ont ainsi été licenciés. Un programmeur de la maison a aussi fait de grandes révélations. Il a affirmé que les jackpots de Sheriffs Gaming ont déjà été conçus pour ne pas (ou ne jamais) être gagnés. Dans la majorité des cas, les gagnants étaient des personnes fictives ou encore des membres de la famille des responsables.
Il y a eu une faille pourtant. Les vrais joueurs pouvaient gagner, mais à condition de miser 2 ou 1euro. Cette faille n’a fonctionné qu’une seule et unique fois, en plus le joueur gagnant n’a pas été payé. De son côté Stijn Flapper a été très en colère suite à cette défaillance. Aujourd’hui, les joueurs se réjouissent que de telles firmes n’existent plus et échapper à la condamnation n’est plus une option pour les responsables.
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