Depuis quelques temps, le secteur des casinos « non-virtuels » est en pleine chute. Les dernières décennies ont été très bénéfiques aux groupes de casinos suite à l’engouement des joueurs qui passaient de nombreuses soirées dans un établissement de jeux d’argent. Pendant plusieurs décennies cette passion c’est développée et à engendrée des bénéfices important pour les casinos terrestres.
Mais la belle aventure se transforme en cauchemar depuis quelques temps. Les raisons sont simples et connues du grand public puisque la crise actuelle touche de nombreux secteurs et l’arrivée des jeux d’argent sur internet attirent une multitude de joueurs.
La crise actuelle se ressent fortement dans le domaine des activités du weekend. La population fait attention à son porte-feuille et se permet des restrictions importantes. Si nous associons ce problème à la loi concernant l’interdiction de fumer dans les lieux publics, nous pouvons observer la chute éminente du trafic dans les établissements de jeux d’argent.
L’arrivée des jeux de casinos sur internet engendre une concurrence considérable qui n’est pas négligeable. Les joueurs préfèrent jouer chez eux pour mieux gérer leurs argents et pour profiter, pleinement, des cigarettes. C’est pourquoi le flux est en chute libre dans les casinos terrestres.
Après avoir passé une année « critique », les groupes gérant des casinos présents en France cherchent des solutions pour attirer un maximum de client. Nous avons observer des zones où il est dorénavant possible de fumer. Un article a été rédigé à ce sujet suite à la création d’une magnifique terrasse avec vue sur mer, accompagnée d’une centaine de machine à sous et plusieurs tables de black-jack.
Des offres alléchantes ont été misent en place aux niveaux des discothèques et autres multiplexes entourant les casinos. C’est pourquoi les casinotiers se rapprochent fortement des établissements à proximité de leurs casinos. Une technique qui permet à des groupes, tels que Joa, d’assurer leurs arrières grâces à des promotions avec des discothèques et autres.
Laisser un commentaire