A l’aube de l’ouverture du marché Français des jeux d’argent en ligne Casino Jackpot vous propose une analyse chiffrée de ce que représente aujourd’hui le secteur du Gambling dans son ensemble ! Ces données vont vous permettre de comprendre les raisons qui poussent… le gouvernement Français de réguler l’activité dans l’hexagone.
Aujourd’hui, nous comptons plus de 24 000 sites de jeux d’argent en ligne en activité dans le monde de manière illégale, contre environ 15 000 sites il y a 3 ans. Un site sur quatre diffusent en langue française de nombreuse marque de casino, de poker, de pari en ligne et de turf, et redirigent donc les joueurs sur les plateformes de jeux.
Ce seraient donc près de 6000 sites qui stimuleraient les 2 ou 3 millions de joueurs français sur la toile. Ces joueurs généreraient entre 360 millions d’euros pour les plus sceptiques et 5 milliard d’euros pour les plus optimistes. Une étude officielle vient nous apporter plus de précision en décortiquant la répartition de ce brassage d’argent en masse : En 2008 on compte que le pari en ligne (Sportif et Turf) pesait 430 millions d’euros, , le poker 70 millions d’euros et les casinos en ligne se rapprocheraient de 400 millions d’euros.
On comprend mieux pourquoi le gouvernement français cherche à contrôler ce marché si fructifiant, dont les profits ne peuvent être taxés pour retomber dans les caisses de l’état. Aussi l’Etat Français se retrouve dans une situation ou le conflit d’intérêt alimente le débat. Certains parlent de protectionnisme afin de préserver les intérêts de la Française des Jeux et du PMU. Vous réalisez pourquoi seulement 50 licences françaises seront prévues en juin 2010 au plus tôt.
Enfin le lobby du gouvernement parle d’urgence d’agir pour remédier à une protection du joueur qui serait vacillante sur les opérateurs illégaux, alors que certains opérateurs comme le dernier Paris Win bénéficie de la licence de la LGA Malte reconnue par l’Union Européenne comme Organisme de référence dans le contrôle de l’Equité et de la protection du joueur. Ne nous égarons pas, car la législation de ce secteur vise avant à profiter avant tout de l’explosion de celui-ci dans les années à venir !
Laisser un commentaire