Pendant que plusieurs pays envisagent l’ouverture des jeux en ligne et que d’autres comptent l’ouvrir pour 2010, il reste tout de même important de regarder du côté des marchés qui ont déjà passé le cap en autorisant les nombreux opérateurs régulés, contrôlés et qui dispose d’une licence d’exploitation aux normes, à opérer dans le secteurs des jeux locale légalement.
L’année 2009 est arrivée à terme, c’est donc le moment de laisser la place au bilan… pour cela regardez vers l’Italie, qui prend place parmi les premiers pays en Europe à ouvrir le marché à la concurrence en 2008.
Résultats… Malgré que le casino demeure dans l’obscurité totale de la loi, le poker et les paris sportifs ont quand à eux été légalisés. Toutefois, d’après les échos les jeux de casino en ligne sont en vue de devenir également légaux sur le marché italien. Ceci dit il reste intéressant de jeter un coup d’œil expert concernant un marché analysé comme fructueux.
Même si la légalisation du marché de jeu et du pari italien a été mouvementée par une régression des plus compliqué, dû en grande partie à la crise économique, il faut toutefois admettre un avenir bien meilleur sur l’année 2010 !
D’après l’AAMS, l’organisme de régulation du marché italien du jeu, une progression de 14 points ont été relevés pour l’année 2009. Une très agréable nouvelle, surtout quand on apprend que les italiens ont pariés plus de 50 milliards d’euros. Cette réussite relève un peu les mauvaises passes que le marché a pu connaître après son ouverture légale.
Ainsi pour le mois de décembre 2009, on constate que ce dernier est le mois le plus productif de l’année 2009. En aboutissement, les paris ont atteint les 5,36 milliards d’euros en même temps que 2,65 milliards d’euros joué sur les machines à sous, et 921 millions d’euros versés pour les tickets à gratter. Le mois de décembre battra bien le record du mois de novembre 2009 où nos voisins les italiens ont pariés plus de 4 milliards d’euros !
Enfin ces chiffres sont présents afin de rassurer tous les opérateurs de jeux attendus également sur le marché français. La première année de l’activité notera surement des reculs, MAIS l’année suivante indiquera une évolution qui portera sans aucun doute ces fruits en laissant place aux effets de la régulation !
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