Jouer, c’est bien, mais être accro, c’est autre chose. Une étude a montré en France que les jeunes commencent de plus en plus à se pencher su les jeux de hasard. Dès qu’ils ont de temps libre, ils jouent sur son Smartphone ou sa tablette ou mini-ordi.
Ce qui est inquiétant, c’est que son usage exclusif peut amener à la dépendance.
C’est pour ça que le conseil économique, social et environnemental (CESE) a fait appel pour essayer de limiter le dégât ou d’éviter l’addiction. Le CESE pense que si aucune action ou mesure n’a été prise de la part de l’Etat et des parents, les jeunes vont être dépendants de ces jeux comme ceux qui fument des cigarettes ou des drogues ou boivent de l’alcool. A ce point-là, la guérison sera beaucoup plus difficile et demande des temps et des moyens.
L’addiction causée par le jeu de hasard peut être psychologique, c’est-à-dire que la personne en question a toujours envie de jouer et au cas où son besoin n’est pas satisfait, il peut présenter différentes sortes de comportement comme : la colore, être mal à l’aise dans sa peau.
Le CESE souligne aussi qu’après une étude, les jeux vidéo tiennent le deuxième rang pour la consultation médicale après le cannabis. Il est déjà aligné à l’alcool, et le tabac. C’est surtout les jeux avec des images virtuelles comme le 3D et le 4D qui sont plus nocifs.
Comme solution, le CESE propose de bien surveiller les stratégies marketing des fabricants et aussi de mettre des signaux sur les jeux pour prévenir les consommateurs qu’à force de jouer au jeu tous les jours, il peut devenir accro et qui peut devenir par la suite une maladie difficile à guérir.
Laisser un commentaire