Malgré la venue de quelque 10 millions dans la nation du Soleil Levant et le désir des autorités d’augmenter sa croissance économique, les casinos terrestres ne verront pas de si tôt le jour. En effet, malgré la possibilité pour le Japon de renflouer généreusement les caisses de l’État grâce aux casinos réels, le parti Komeito est catégorique et ne veut pas courir le risque.
Pourquoi lever cette interdiction ?
Le gouvernement a exprimé son souhait que l’interdiction soit levée pour donner la possibilité aux investisseurs l’occasion d’investir leur argent au Japon. En effet, le pays a tout pour leur plaire. C’est encore une très belle part de marché pour les opérateurs de casinos. D’après les diverses observations, les Japonais apprécient considérablement les jeux de casinos à voir leur tendance sur les jeux en ligne.
Cette volonté d’avancer est aussi due à la présence des quelque 10 millions de touristes présents chaque année sur le sol japonais. Le casino serait effectivement un bon appât pour booster le secteur touristique. À cela viennent aussi s’ajouter les Jeux olympiques de Tokyo qui serait une très belle occasion.
Où se situe le problème ?
Le principal problème ne se situe ni au niveau des ouvertures de casinos ni du côté des touristes qui sont des clients potentiels. Il s’agit plutôt, d’après le parti Komeito de la population elle-même. Il a exprimé son inquiétude face aux risques d’addiction aux jeux des Japonais qui présenteraient des tendances à la dépendance. Cette tranche de la population susceptible de tomber dans l’addiction avoisinerait les 5% d’après le ministère de la santé qui a réalisé l’étude.
L’adoption de la levée toujours bloquée
Même si le blocage n’est pas clairement exprimé, on constate à travers les diverses manœuvres que le but visé est d’empêcher que le projet de loi qui vise à lever l’interdiction n’est pas le bienvenu au parlement. Le parti qui soutient principalement le gouvernement lui-même n’est pas favorable à cette idée. Il s’agit du parti Komeito.
Déjà reporté une première quelques mois auparavant, pour cette cession qui se terminera la fin de ce mois de novembre, le projet ne semble pas être une priorité. En effet, d’autres projets de loi sont jugés plus importants. Une autre cession très importante réunira encore le parlement eau début de l’année 2015, mais cette fois encore l’espoir est assez mince pour le projet adopté. En outre, cette cession de 2015 a pour objet l’adoption des grands projets de loi. Encore à cette occasion, la levée de l’interdiction de l’installation des casinos en dur semble compromise.
Avec tout son potentiel, les autorités ne semblent pas encore convaincues de l’apport important que peut engendrer la présence des ces casinos. Mais les investisseurs ne sont pas encore jusqu’ici découragés, mais il faudra voir jusqu’à quand cette patience durera-t-elle !
Laisser un commentaire