Dans l’industrie du jeu, le casino de Monte-Carlo représente l’une des destinations phares de la Principauté de Monaco. Avec une architecture hors du commun, l’établissement conserve son ambiance fastueuse. Malgré un tel intérêt, l’endroit traverse des années de crise puisque les jeux ne rapportent plus d’où la mise en place d’une stratégie pour résoudre le problème.
Des innovations au programme
L’arrivée de Pascal Camia au département des jeux de la Société des Bains de Mer permet d’élargir les offres et d’instaurer des nouveautés dans le service. Le casino ne manque pas de satisfaire la clientèle en proposant des prestations personnalisées. Entre les dîners et l’organisation de différents tournois de jeux de table, le lieu s’efforce de combler les demandes des clients et d’attirer les visiteurs. Retrouvez, par exemple, le rendez-vous des passionnés de roulette anglaise sur une main event à un million de dollars. Tout va se concentrer sur les jeux avec d’énormes changements à venir.
Selon M. Camia, toutes les cartes sont en main afin de redresser la barre et de créer de nouvelle génération de joueurs incluant les gros parieurs. Il ajoute qu’ils ont les moyens de personnaliser l’ensemble des espaces notamment la façon de distribuer les cartes et le choix du croupier. D’autres réaménagements ont été effectués dont celle de la salle Europe, le temple historique de la roulette française. L’objectif sera de fournir un moment de divertissement au cœur d’une surface parfaitement décorée et équipée. Un espace lounge assez cosy a été ajouté, une occasion de passer une bonne soirée dans une ambiance feutrée et fun. Attention, une tenue correcte est exigée !
Une concurrence de plus en plus pressante
Le casino de Monte-Carlo commence un passage à vide dans les années 2000 avec l’entrée de l’euro, l’interdiction de fumer et une loi raffermie contre le blanchiment d’argent. Par ailleurs, les jeux d’argent en ligne suscitent un engouement sans précédent rajoutant le succès fulgurant des casinos asiatiques. Avec des concurrents aussi féroces, difficile de faire face et de se constituer une clientèle variée. Dans tous les cas, la SBM préserve ses atouts avec ses 155 ans d’expérience en étant régulée par l’État monégasque et en créant au moins 2 000 emplois.
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