Plusieurs actualités venant des 4 coins du monde viennent de nous parvenir en ce mois de décembre. La plupart sont de bonnes nouvelles. Venant de l’Arkansas, en passant par l’Israël et la Grèce, voici les infos du moment.
Installation de plusieurs casinos autorisés en Arkansas
L’Arkansas a demandé récemment l’avis des électeurs concernant l’implantation de casinos sur le territoire. Avec 54 % de oui lors du vote, l’amendement constitutionnel est donc validé. L’État américain devra avoir ses propres établissements de jeu d’argent dans un futur proche grâce aux soutiens des trois tribus locales. L’objectif de l’implantation de ces casinos serait de maintenir les joueurs sur le territoire. Ainsi, les parieurs locaux vont utiliser l’argent sur place grâce aux établissements de jeu d’argent. Au total, 4 licences sont proposées dont 2 sont délivrés à des groupes déjà spécialisés dans les paris hippiques. Après la construction, les établissements vont fonctionner 24h sur 24 pour le plus grand plaisir des parieurs locaux et étrangers. L’État va taxer à hauteur de 20 % ces nouveaux casinos terrestres.
Poker : bientôt autorisé en Israël ?
Rien n’est encore certain pour le moment, mais il est probable que le Poker devienne une discipline légale en Israël. Autorisé dans plusieurs pays de monde, le jeu de cartes est illégal pour les Israéliens à l’heure actuelle. Les organisateurs de tournoi risquent plusieurs années de prison ferme en cas de violation de l’interdiction. Mais comme les législateurs ont décidé de présenter un projet de loi pour la légalisation du Poker, les choses sont en train de changer. Une réponse positive à la demande venant du parlement n’est pas impossible pour 2 raisons. En premier, le Poker est considéré plutôt comme un jeu d’expérience et de stratégie. Le candidat a peu de chance de remporter la main en comptant sur le hasard. L’autre motif pour légaliser le Poker est le côté lucratif. L’État obtient sa part du gâteau en taxant les tournois lorsque le divertissement est légalisé.
Jeux d’argent en ligne en Grèce
Les opérateurs doivent débourser 5 millions d’euros pour obtenir une licence de 5 ans pour exploiter le marché de Grèce. Il faudra ajouter à ce chiffre les impôts annuels et les diverses taxes. Il faut que les opérateurs prouvent également leur capacité financière pour faire fonctionner le site avec 500 000 euros supplémentaires. La possession d’une seconde licence provenant d’une autre juridiction est indispensable pour prouver son professionnalisme et son expérience. Bien évidemment, la licence ne sera pas proposée à un groupe déjà condamné par une autorité spécialisée en iGaming.
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